La lumière, l'errance puis le plein être. Ici s'éveille en d'autres yeux ce que les lèvres énoncent avant la parole. Corps infini, formes blanches, sur pages muettes. Étrange énoncé qui n'achève rien.
Michel Côté, Jouer dans l'être, les éditions Triptyque, Montréal, 2007, p.26
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