elles vieillissent, elles ne ressemblent plus
à rien - elles ont même tendance à
ronfler, à perdre
leur entrain.
Charles Bukowski, poème Le jeu de la baise, Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines, éditions du rocher, traduit par Thierry Beauchamp, 1969-2008, p.100
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