Elle abdiquait.
Elle n'aurait pas bougé le petit doigt pou toucher à la moindre chose.
Il ne fallait plus rien ouvrir et ne toucher à rien.
Tout restait à sa place, immobile.
Sarah Kéryna, extrait de C'était ainsi, revue Monsieur Thérèse no. 0, Marseille, 2006, p.32
Aucun commentaire:
Publier un commentaire