30 juillet 2007

Du chaos et de l'ordre des choses (p.45)

Chaque jour, de silencieux requiem accompagnent
ses départs. Chaque jour amène un nouveau deuil
qui, croit-il, les rapproche du grand jour. Et rien -
sauf peut-être ce rien dont elle lui a parlé et qu'il
n'a pu trouver - ne saurait entraver l'inéluctable
mécanisme de la fuite.

Stefan Psenak, Du chaos et de l'ordre des choses, Éditions du Nordir, collection Bibliothèque canadienne-française, 2000, p.45

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