Il devrait toujours lire le livre à voix haute et claire, se tenir de toutes leurs forces exempts de toute mémoire de l'avoir jamais lu, dans la conviction de n'en connaître rien, et cela chaque soir.
Marguerite Duras, Les yeux bleus cheveux noirs, Les éditions de Minuit, Paris, 1986, p.49
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