Il lui demande pour les passages sur la plage, de lui expliquer, il ne sait rien, il y a peu de temps qu'il habite la ville. Elle dit que ce sont des gens qui se cachent pour ensemble se pénétrer et jouir sans pour autant se connaître ni s'aimer, sans presque se voir.
Marguerite Duras, Les yeux bleux cheveux noirs, Les éditions de Minuit, Paris, 1986, p.42
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