On ne touche à rien
qu'un peu de cendres à quoi l'histoire
nous aura réduits: nos doigts fument
de cette poussière remuée, de l'encens d'homme
offert aux cieux qui nous le soufflent en plein visage
Pierre Ouellet, suite poétique "Âme pour âme", Zone franche Liber Asylum, éditions du Noroît, 2004, p.25
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