Le 20 juillet, Neauphle, l'après-
midi.
Les baisers de vous, j'y crois
jusqu'à la fin de ma vie.
Au revoir.
Au revoir à personne. Même pas à
vous.
C'est fini.
Il n'y a rien.
Il faut fermer la page.
Viens maintenant.
Il faut y aller.
Temps. Silence, et puis.
Il serait temps que vous fassiez
quelque chose. Vous ne pouvez
pas rester à rien faire. Écrire peut-
être.
Marguerite Duras, C'est tout, P.O.L éditeur, Paris, 1995, p.47-48
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