30 mars 2008

il ne fallait plus rien

Elle abdiquait.
Elle n'aurait pas bougé le petit doigt pou toucher à la moindre chose.

Il ne fallait plus rien ouvrir et ne toucher à rien.
Tout restait à sa place, immobile.

Sarah Kéryna, extrait de C'était ainsi, revue Monsieur Thérèse no. 0, Marseille, 2006, p.32

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